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Références spécifiques :

• Photos sur oiseaux.net,
• Atlas sur Faune Auvergne : fiche de l'espèce,
• Suivi Temporel des Oiseaux Communs (France) : fiche de l'espèce,
• Abondance du Bruant proyer nicheur du Royaume-Uni depuis les années 1960 : fiche de l'espèce,
• Evolutions des populations nicheuses du Bruant proyer en Europe depuis les années 1980.

Le chant du Bruant Proyer est passablement stéréotypé si l'on n'entre pas trop dans les détails.

Ainsi, dans l'ensemble, les phrases sont généralement composées de 2 phases successives :

• d'abord, une série courte (1 seconde ou moins) d'environ 10 ou 15 notes notes identiques, répétées sur un rythme qui s'accèlère progressivement, mais très rapidement : notes à l'unité au tout début (comme une hésitation), puis rapidement en trille / crécelle trop rapide discerner individuellement chaque note,
• ensuite, sur le rythme rapide maintenant stabilisé, une trille encore plus aiguë (encore une seule note répétée donc), et d'un volume semblant moindre ; cette trille est par ailleurs un peu instable, avec une ou plusieurs très furtives interruptions.

Toutes ces notes sont d'une tonalité sur-aiguë et très rêche, très grinçante et métallique, voir stridente, comme une ... ou plusieurs mêmes vieilles poulies rouillées que l'on force avec peine à tourner à nouveau (mais sans graisse !) ... particulièrement désagréable de près.

Enfin, souvent, il existe une 3ème phase très courte (quelques notes), où l'on retrouve des notes similaires à celles de la 1ère phase, dans un brusque ralentissement du rythme.

Cette description générale reste valable dans toute l'Europe de l'Ouest, mais dans les détails, il y a des variations géographiques (dialectes) : notes un peu différentes entre le début et la fin de la 1ère phase, hésitation placées différemment dans la 2nde phase, changements légers de note répétée dans la 2nde phase, et variations de la tonalité et du timbre des notes répétées dans les 2 phases ...

Mais ces variations ne modifient en rien le timbre suraigu grinçant et la dynamique globale de la phrase qui rend le chant du Bruant proyer à nul autre pareil.

Confusions possibles :

• Serin cini : son chant en bouillie complexe et sur-aiguë, dans les mêmes hauteurs et tonalités, est cependant plus "doux", moins fortement grinçant et agressif à l'oreille ; ensuite il ne comporte pas d'accélération initiale ; enfin ses phrases sont plus longues et enchaînées généralement sur un rythme plus rapide, sans les grandes pauses habituelles du Proyer,
• Pouillot siffleur : la dynamique de la phrase habituelle du Siffleur, approximativement celle d'une bille rebondisant sur une surface dure, ou d'une pièce tournant sur sa tranche qui finit par "s'aplatir" ... peut faire penser au début de phrase accéléré du Proyer, mais l'accélération est bien plus progressive chez le Siffleur ; et le Proyer ne chante pas dans les bois :-).

Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	ch	CocHup MerNoi	XC411142
	ch	MerNoi MesBle ChaEle	XC471815
	ch	RosPhi ChaEle HypPol RaiMer	XC270196
	ch		XC132755

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Répertoire peu étendu ... on retrouve dans les cris de l'espèce le caractère suraigu et grinçant du chant :

• ,
• ,
• ,
• ... liste probablement non exhaustive (forcément ;-).

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Aucun échantillon sonore trouvé, désolé :-(

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Références spécifiques :

• Photos sur oiseaux.net,
• Atlas sur Faune Auvergne : fiche de l'espèce,
• Suivi Temporel des Oiseaux Communs (France) : fiche de l'espèce,
• Abondance du Bruant jaune nicheur du Royaume-Uni depuis les années 1960,
• Evolutions des populations nicheuses du Bruant jaune en Europe depuis les années 1980,
• Les dialectes du Bruant jaune, une carte collaborative de répartition mondiale (partielle, selon participants et pays engagés) et une variante de la nomenclature des dialectes de Poul Hansen (en Allemand).

Le chant du Bruant jaune présente dans le détail un ensemble de dialectes dont une étude récente montre que la répartition européenne et mondiale est passablement difficile à interpréter.

Ces dialectes sont identifiés sur les seules notes de fin de chaque phrase.

Mais commençons par décrire l'ensemble d'une phrase, car globalement, elles ont toutes à peu près la même structure :

• d'abord, la plus longue partie de la phrase :
• elle est constituée d'une répétition de notes identiques,
• émises sur un rythme assez régulier, plus ou moins rapide, mais rarement si rapide qu'on ne puisse séparer / compter ces notes (souvent 6 notes par seconde, généralement 5 à 8, à l'extrème 4-5 ou 10-12), en moyenne notablement moins rapide que chez le Bruant zizi,
• des notes de hauteur souvent légèrement montante tout au long ou à la fin de la série,
• et d'un timbre assez variable, toujours aigu à très aigus et assez métallique, souvent plutôt "lisse" ("zi"), mais parfois plus rugueux, râpeux ("zri")",
• ensuite, une note de terminaison de la phrase (parfois 2 ou 3 selon le dialecte) :
• généralement nettement plus longue, traînante que celles qui sont répétées dans le début de la phrase,
• souvent plate ou légèrement descendante, parfois montante,
• dans les cas multiples, les notes ne sont pas toutes de même hauteur, ni de même longueur, (la dernière généralement plus longue cependant), ni de même volume : on ne les entend pas forcément toutes suivant la distance du chanteur !

Bien sûr, parfois, les phrases sont tronquées, que le chanteur s'interrompe temporairement pour une bonne raison, qu'il ait simplement décidé de ne pas émettre la ou les notes de fin de phrase, ou de les raccourcir, ou que les conditions d'écoute (vent, distance, bruit ambiant ...) en masquent certaines ... attention dans ce cas aux confusions !

Par ailleurs, comme on peut le voir sur cette carte, cette structure à 1 longue note terminale isolée (ou précédée d'une furtive plus aiguë) s'applique assez bien en Auvergne, en France et plus généralement dans le nord-ouest de l'Europe, mais attention ailleurs (et en particulier dans les Alpes et Pyrénées) !

Enfin, de la part d'individus qui chantent par ailleurs comme décrit ci-dessus, on entend parfois des phrases dont la longue trille est nettement plus aiguë que d'habitude, et souvent plus rapide aussi ; preuve que par ailleurs, certains individus au moins ont plusieurs trypes de chants, comme chez le Zizi.

Confusions possibles :

• le Bruant zizi : lorsque la / les notes de fin de phrase sont absentes ou non audibles (bruit ambiant, distance), il ne reste que la répétition initiale, qui ressemble alors parfois à certaines phrases du Zizi ; un timbre très aigu et métallique, et/ou très lisse, reste toutefois diagnostique du Jaune, le Zizi restant "toujours" "assez grave" et généralement plutôt "rapeux",
• le Verdier, quand il émet des phrases de type "tidididi" plus aiguës que la normale ; mais ces phrases sont alors enchaînées sur un rythme plus élevé, elles sont plus courtes (2 fois moins de notes environ) et dans la plus grande des vitesses de répétition des bruants jaunes.
• (voir aussi les confusion possibles pour le Bruant zizi).

Pour aller plus loin :

Les dialectes du Bruant jaune ont été depuis longtemps étudiés et répertoriés de diverses manières, mais depuis les années 1980, la nomenclature du dannois Poul Hansen fait maintenant référence.

Voici les détails de cette nomenclature, en provenance de 2 excellents sites :

• Goldammerdialekt (en allemand) par Eckehard Frauendorf, qui a étudié ces dialectes en détails en Allemagne et Autriche : merci DeepL pour la traduction de la page explicative, d'où provient le tableau de nomenclature de gauche,
• yellowhammers.net, un site participatif pour l'étude et le partage d'enregistrements de chants du Bruant jaune, par des chercheurs et ornithologues de diverses universités et organismes tchèques, britanniques et néo-zélandais notamment : le tableau de nomenclature de droite permet de visualiser (sonagramme simplifié) et écouter des enregistrements typiques de la plupart des dialectes référencés par ce site ; par ailleurs, cette page cartographie les enregistrements effectués partout dans le monde et le dialecte correspondant : en cliquant sur les petits symboles, vous pourrez aussi visualiser et écouter les dialectes, et surtout vous faire une idée de leur répartition (du moins dans les endroits où la collecte d'enregistrements a été assez dense ... par tellement en France donc).
• N.B. cette autre page du site d'Eckehard Frauendorf permet aussi d'écouter des enregistrements typiques de chaque dialecte, et en particulier ceux des ajouts de l'auteur à la nomenclature de Hansen (BCs, BlBhd, XmB) que je n'ai pas trouvés sur yellowhammers.net.

Un dialecte est défini par les seuls éléments de fin d'un phrase (on ignore la longue répétition initiale, qui est systématique et donc non "codante" ; on ignore également sa variabilité ... ce que Hansen explique probablement dans ses écrits ...).

Chaque élément final B, C, D, E, X est ainsi décrit sous la forme d'un sonagramme simplifié (fréquence en fonction du temps) dans le tableau de gauche ci-dessous, et qualifié à l'aide de lettres minuscules ayant la signification suivante :

• pour X : l = long (long), m = moyen (mean), s = court (short),
• pour B : l = faible (low), h = élevé (high), e = égal (equal), d = décroissance (decrease),
• pour C : s = légère décroissance (slight decrease).

N.B. Rappelez-vous, à la nomenclature de Hansen, Eckehard Frauendorf a ajouté ses propres compléments Bd, Cs, Xm.

Source: goldammerdialekt.de (Eckehard Frauendorf)	Source: yellowhammers.net

Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	ch typ 2zii XlB	FauTNo	XC471509
	ch typ 2zii XlB	LinMel PinArb MerNoi AloCha	XC471511
	ch typ 2zii XlB	MerNoi SitTor TouBoi FauTNo	XC296656
	ch typ 2zii XlB	PigRam PouVel GriMus FauTNo PinArb VerEur	XC143986
	ch typ lent rap 2zii XlB	FauTNo MerNoi	XC79058
	ch typ rap 1zii XsB	AloCha FauGri	XC260119
	ch 0zii	VerEur ChaEle CorFre MerNoi PigRam LinMel	XC145533
	ch 1 2zii BE	BruZiz LinMel AloCha MesCha MerNoi PinArb CorNoi	XC133369
	ch 1 2zii XlB	FauTNo RosPhi	XC471512
	ch 1 2zii XsB XsBC		XC34540
	ch 1zii XsB variations		XC484764
	ch 1zii XsB		XC102106
	ch aigu 0zii	MerNoi PinArb HirRus AloCha	XC139558
	ch grav rapeux	FauJar	XC524875
	ch suraigu rapide		XC357946
	ch suraigu rapide		XC439517
	ch atyp desc		XC365938

Les cris du Bruant jaune ne sont pas très variés, et leur caractère très court, ou peu sonore et/ou très aigu ne facilite pas leur détection :

• le "zet" (parfois "zit"), souvent émis en vol, mais souvent posé aussi, est le plus diagnostique de l'espèce (guère de confusion possible),
• le "ziii" long, un peu descendant signale une alarme et un envol imminent (semble très similaire au "ziii" du Zizi (!), émis dans les mêmes circonstances (qqch à creuser donc ...),
• les "sziii" des juvéniles sont un peu similaires, mais avec une vibration surimposée (ou porteuse ?) qui les rend stridents et désagréables,
• ... liste probablement non exhaustive.

Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	cr typ al srziiiii		XC25836
	cr typ al srziiiiiu	AloCha	XC469780
	cr typ al sziiiii inq zrie	AloCha TarPre	XC245735
	cr typ al sziiiii inq zrie		XC353836
	cr typ al sziiiiiu inq zrit	MerNoi CorNoi	XC85097
	cr typ al zrii		XC46380
	cr typ envol zit zivit	AloCha PinArb CorNoi	XC505468
	cr typ inq zit zrut	MerNoi PouVel	XC366718
	cr typ inq zit zruu	PinArb PouVel TroMig	XC143992
	cr typ inq zrii	PouVel MesCha	XC83642
	cr typ inq zrii juv srziii	MesCha VerEur	XC382634
	cr al juv ssziiir	AloCha MerNoi FauTNo PGrEco	XC372289
	cr juv zirrz	LinMel	XC496586
	cr zrip	PinArb	XC363308

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Pour l'anecdote, c'est une rareté en Angleterre, où il est extrèmement localisé, dans l'extrème sud-ouest, sur la côte du Devon, avec une petite population de qq 100taines de couples (Cirl bunting).

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Références spécifiques :

• Photos sur oiseaux.net,
• Atlas sur Faune Auvergne : fiche de l'espèce,
• Suivi Temporel des Oiseaux Communs (France) : fiche de l'espèce,
• le Bruant zizi, une rareté en Angleterre,
• Evolutions des populations nicheuses du Bruant zizi en Europe depuis la fin des années 1980,
• Diversité et spécificité des chants du Bruant zizi (Emberiza cirlus) - Michel KREUTZER (C.N.R.S., U.R.A. 667, Université Paris XIII) - Revue d'écologie, vol. 45, 1990, p. 147.

Les phrases du Bruant zizi sont très simples :

• elles sont constituées d'une répétition de notes identiques,
• émises sur un rythme régulier,
• parfaitement identiques (sauf "accident") : pas de changement de hauteur ou de timbre,

La difficulté est ailleurs : partout dans l'aire de répartition de l'espèce (Europe occidentale), il n'est pas 2 chanteurs voisins qui utilisent exactement la même note et le même rythme dans leur phrase (non, aucun secours du côté d'un éventuel patois ou dialecte local pour cette espèce : il n'en existe pas !) (KREUTZER, 1990) :

• le rythme peut être plus ou moins dynamique (souvent 10-12 notes par secondes, généralement 9 à 14, mais parfois 7-8 ou 18-20), en moyenne clairement plus rapide que chez le Jaune,
• la note répétée a une structure simple ou légèrement dissyllabique, mais surtout une sonorité et un timbre très variables :
• parfois assez "lisse" comme chez le Jaune, mais le plus souvent plus rugueuse et/ou liquide,
• parfois assez tonale, mélodieuse, et parfois très sèche, comme une stridulation d'insecte,
• souvent structurellement simple (en "apparence"), parfois plus ou moins disyllabique (ce qui semble ralentir le rythme normal de la trille),
• généralement nettement plus grave que chez le Jaune, même dans ses débuts de phrases les moins aigus.

Ajoutons enfin que chaque individu possède plusieurs variantes de chant (2 à 4 ?), la variation portant bien sûr uniquement sur la sonorité et le timbre de la note répétée (KREUTZER, 1990).

Confusions possibles :

• le long début de phrase de certains bruants jaunes, dans des variantes peu aiguës et un peu rapeuses, ... quand la (les) notes finales sont manquantes ou peu audibles (sinon, mêmem longueur de phrase ...),
• les phrases de type "tidididi" plus aiguës que la normale du Verdier d'Europe (exemple XC367534), qui peuvent faire penser à de rares phrases tonales (non râpeuses) et aiguës du Zizi ; mais ces phrases sont alors enchaînées sur un rythme plus élevé, et elles sont plus courtes (2 fois moins de notes environ) et dans la plus grande des vitesses de répétition des bruants zizi,
• les phrases à la rapide vibration "zzzzzzz" du même Verdier (exemple XC406556), qui sont tout de même plus courtes, et surtout d'une rythme de "répétition" beaucoup plus rapide (on ne peut pas compter les notes, c'est une vibration !),
• le chant de la Grande Sauterelle Verte, mais plus rapide, plus aigu et sec, et émis quasi-uniquement au crépuscule et la nuit (ex. sur cette page),
• enfin, pour l'anecdote, le chant de la Locustelle fluviatile (exemple), assez improbable en Auvergne (puisqu'elle niche en Europe centrale et du nord, mais pas impossible, puisqu'il y a quelques données récentes en Belgique, Suisse et Allemagne proche), au timbre sec pouvant coller ; mais son chant est continu, sans interruption, comme certaines cigales (et comme toutes les locustelles).

Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	ch typ tche rapide		XC381191
	ch aryth lent tzrlu	MerNoi	XC366834
	ch tchli	CanSp GriJar CorNoi MesBle MesCha	XC143996
	ch tchli lent	MoiSp SerCin BouCet RouFam MerNoi EtoSp	XC363221
	ch tchlu	MerNoi TroMig	XC409756
	ch tetlu corse		XC471894
	ch tli		XC467954
	ch trze	FauTNo BusVar SitTor	XC413304
	ch trze rapide	PigRam CorNoi	XC58777
	ch trze		XC106539
	ch trzli rapide corse	FauTNo CorNoi	XC471894
	ch tzi	PicVer MerNoi	XC106509
	ch tzli	RouFam PouVel PigRam GriMus PinArb TroMig TarAul Devon	XC235232

Répertoire assez peu étendu, avec - comme pour le Bruant jaune - un cri courant très diagnostique, et un autre portant à confusion :

• le "tsit" ou "tsic" ou "tsi", toujours très très court (mais plus ou moins ;-), le plus souvent arrêté brutalement (d'où les "t" et "c" finaux) ; peu être confondu avec celui de la Grive musicienne, qui est cependant plus court et brutal semble-t-il, au point qu'on n'entend presque plus la voyelle "i" (?) ; un autre critère est que la Musicienne émet généralement ce cri à l'unité et en fuyant, ce qui permet assez souvent de lever le doute (visuellement), et que le Zizi ne l'émet habituellement à l'unité que caché dans quelque arbuste ou buisson, la montée éventuelle seule de l'inquiétude (vers la fuite) le conduisant ensuite à l'enchaîner en séries sans rythme,
• le "ziii" long, un peu descendant signale une alarme et un envol imminent (par exemple, en multiples précipitamment enchaînés par les individus d'une bande d'hivernants fuyant un marcheur humain passant trop près de leur buisson refuge, après quelques "tsic" d'inquiétude au début de l'approche de l'intrus) ; mais il semble très similaire au "ziii" du Jaune (!), émis dans les mêmes circonstances ... pas simple !
• des séries "tsrletrlet" sont aussi émises sous l'effet de l'inquiétude ou de l'alarme, peut-être lorsque les oiseaux se posent, le temps de se calmer un peu et de reprendre les "tsi" ou "tsic" isolés ...
• en juin-juillet, les juvéniles à peine sortis du nid poursuivent leurs parent nourriciers en quémandant bruyamment par des séries de "tsi" rapidement enchainés en trilles au rythme oscillant, de 3-5 "tsi" par seconde à plus 20-25 ; à plusieurs, ce n'est pas des plus discret, mais les oiseaux sont particulièrement doués pour se cacher de l'observateur qui cherche à s'assurer de leur identité et de leur âge ...
• ... liste probablement non exhaustive.

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Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	cr al tsii		XC106507
	cr al tsit courts enchaines		XC443432
	cr al tsit courts		XC106506
	cr al tsit courts		XC458930
	cr al tsit tsrletrlet long		XC406096
	cr al tsit tsrletrlet		XC458931
	cr al tsrletrlet long tsit	RouFam MesHup MesBle FauTNo	XC327986
	cr exc par tsit		XC309148
	cr jnvq		XC380942
	cr jq	GueEur	XC380942
	cr jq		XC146341
	cr tzrie		XC505701
	cr al siiiu comme BruJau		XC105629
	cr siiiu comme BruJau		XC58779

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• Photos sur oiseaux.net,
• Atlas sur Faune Auvergne : fiche de l'espèce,
• Suivi Temporel des Oiseaux Communs (France) : fiche de l'espèce,
• Evolutions des populations nicheuses du Bruant ortolan en Europe depuis les années 1980.

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Confusions possibles :

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Enregistrement	Description (?)	Autres espèces	Source
	ch typ	AloCha MerNoi	XC476268
	ch typ	MerNoi AloLul AlaArv PGrEco	FG20190609a
	ch typ	MerNoi FauTNo	FG20190609c
	ch typ	PinArb FauTNo CorNoi	FG20180709b
	ch typ	TarPat AloLul PinArb EtoSp LinMel	XC482551
	ch	AloCha GriMus	XC139763
	ch	BruJau	XC161518
	ch	HirRus MerNoi	XC106702
	ch	MerNoi	XC422864
	ch	PieBav AloCha BerPri	XC245972
	ch	PinArb	XC379611
	ch tronq	CorNoi GriMus AloLul FauTNo AloCha	FG20180709a
	ch		XC487269
	ch atyp	RosPhi	XC135374

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• ... liste probablement non exhaustive (forcément ;-).

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• Evolutions des populations nicheuses du Bruant des roseaux en Europe depuis les années 1980.

Petite mélodie calme, rythmée, aigrelette, débitée à l'identique pendant de longue périodes. Différente d'un mâle à l'autre dans le même marais ?.

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Confusions possibles :

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Répertoire peu varié :

• "tsié" long, clair, assez pur, émis en vol ou au posé,
• dérivé "zrieu" buzzant / vibré, bourdonnant du "tsié", virant au "zruu",
• ... liste probablement non exhaustive (forcément ;-).

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• Atlas sur Faune Auvergne : fiche de l'espèce,
• Suivi Temporel des Oiseaux Communs (France) : fiche de l'espèce,
• Evolutions des populations nicheuses du Bruant fou en Europe depuis les années 1980.

?? De manière assez similaire au Bruant des roseau, petite mélodie calme, rythmée, aigrelette, débitée à l'identique pendant de longue périodes. Différente d'un mâle à l'autre ?

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Confusions possibles :

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