Les 6 picidés auvergnats | ... à l'oreille |
Comment les identifier les yeux fermés | |
Description et comparaison détaillées de leurs manifestations sonores |
Table des matières
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Pic mar - Dessin au crayon de Romain Riols, 2012 |
Si on les compare aux autres oiseaux, les pics se distinguent par quelques traits bien à eux :
Le monde des pics se divise en 2 catégories : celui des "croque-en-bois" et celui des "pinje-en-terre" (comme on pourrait le dire en langue gallaise, entre Rennes et Laval ;-).
Et le Noir ? Eh bien, c'est l'exception qui "confirme" la règle : il appartient à ces 2 catégories !
Les pics se distinguent de la grande majorité des autres oiseaux par leur forte propension (voire compulsion) à cogner à coups répétés sur le bois (branche ou tronc) ; mais ils le font de 2 manières bien différentes qu'il convient de distinguer par leurs fonctions respectives :
Les 2 critères essentiels (et suffisants dans la plupart des cas en Auvergne) pour l'identification des espèces par leur tambour sont :
Les autres critères sont au mieux secondaires, et au pire trompeurs (ne pas en tenir compte en 1ère approche) :
Bien sûr, les pics choisissent généralement des tambours conformes à leurs capacités physiques, et donc la hauteur des sons perçus est normalement "assez proportionnelle" à la taille du percussionniste ... mais prudence.
Tous les pics ne chantent ou ne tambourinent pas :
Espèce |
Chante ? |
Tambourine ? |
---|---|---|
Pic épeiche | Non | Oui |
Pic mar | Oui | Très rarement |
Pic épeichette | Oui | Oui |
Pic noir | Oui | Oui |
Pic vert | Oui | Très rarement |
Pic cendré | Oui | Oui |
Torcol fourmilier | Oui | Non |
Dans ce qui suit, on se limite aux 7 picidés présents en Auvergne : Pic épeiche, mar, épeichette, noir, vert, cendré et Torcol fourmilier.
Pour la France et les pays limitrophes, il ne vous en manquera donc plus que 3 : le Pic à dos blanc, le Pic de Sharpe et le Pic tridactyle, tous 3 plutôt localisés en France.
Après rappel de quelques particularités de l'espèce (abondance, milieux de prédilection, statut en Auvergne, régime alimentaire, biologie de reproduction, moeurs particulières, identification visuelle, ... etc), on trouvera ci-après pour chacune d'elle, et pour chacun de ses types de manifestation sonore (cri, chant, et même tambour, martellement, pour les pics ...), des échantillons sonores aussi typiques que possible, avec dans l'ordre, pour chacun d'eux :
Et pour vos sorties sur le terrain, un tableau de synthèse résumant ce qu'il y a retenir pour chaque espèce, et permettant de les comparer d'un seul coup d'oeil.
N.B. Faute de temps, les enregistrements sources n'ont pas été coupés et / ou remontés, ce qui aurait permis d'isoler plus précisément les manifestations sonores ciblées ; à vous de les retrouver : la plupart du temps, c'est la première qu'on entend, mais parfois non ; dans ce cas, fiez-vous à la colonne 'Description', qui liste ces manifestations dans l'ordre d'apparition (Cf. glossaire pour leur nom de code : cr, ch, crch, t, m).
Signification des codes et abréviations utilisés dans la colonne "Description" des tableaux ci-après (N.B. Cliquez sur les '?' dans l'entête de cette colonne pour revenir directement ici si vous avez un trou de mémoire ;-).
Commun, présent partout où il y a des arbres (forêts, ripisylves, bocage, parcs, vergers ...), à toutes altitudes (optimum = vieille et fraîche forêt feuillue à basse / moyenne altitude).
Sédentaire (mais déplacement des jeunes en recherche de territoire)
Domaine vital de l'odre de 20 à 40 ha en forêt favorable, plus en bocage ou en forêt de conifères.
En Auvergne à basse ou moyenne altitude, ponte de fin avril à fin mai (incubation de l'ordre de 2 semaines), envol des jeunes entre mi-mai à mi-juin (élevage de l'ordre de 3 semaines), après qq derniers jours souvent très bruyants au nid (quémandes), période très favorable à la découverte des loges !
Régime alimentaire éclectique selon les saisons (invertébrés du bois, des écorces et des feuilles, et leurs larves et nymphes, fruits secs et autres : noisettes, amandes, noix, graines de conifères, cerises et autres fruits, leurs noyaux, ... etc ; occasionnellement des oeufs ou poussins d'autres oiseaux, et même de pics.
Se nourrit plutôt à moyenne hauteur dans les arbres (tronc, branches).
Peu discret, très sensible à la pénétration dans son espace vital (humain ou autre), et le fait savoir par ses cris.
Cohabite bien avec le Mar, même si des tensions sont parfois perceptibles (très légère concurrence alimentaire ou immobilière ?)
Identification et comparaison au Mar :
Références spécifiques :
Emis essentiellement entre février et mai, par les 2 sexes.
Typiquement 15-20 coups (extrèmes 6 à 25), enchaînés en 0,6-0,7s (extrèmes 0,5 à 1s), avec une accélération et une baisse de volume sensibles à partir du milieu de la série environ.
Assez fort volume : porte généralement loin.
Fréquence des coups élevée : typiquement 25 coups/s ou plus en fin de série.
Les tambours de la femelle seraient plus courts.
En résumé : tambour court (moins d'1s) et rapide, accéléré et atténué à la fin, sonore.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
t typ 2 ind rep | XC156178 | ||
t typ | XC378742 | ||
t divers feles pas nets cr rurr 2 ind | XC98147 | ||
t dont tronques | XC125519 | ||
t fele | XC406355 | ||
t long accel | XC385855 | ||
t atyp long peu accel | XC361058 | ||
cr rurr t ailes 2 ind | XC252314 | ||
m t fele court 2 ind | XC143095 |
Peu typiques, semblent très similaires à celui du Mar.
Typiquement, séquences "alimentaires" de 2 à 5 coups brefs enchaînés nerveusement au rythme variable d'environ 4-6 coups par seconde, avec 1 à 2 s séparant chaque séquence.
Lors du creusement d'une loge, les séquences du même type peuvent s'enchaîner presque sans interruption pendant des minutes entières, et s'allonger de quelques coups supplémentaires, le rythme baissant alors (fatigue) ...
Le bruit émis par chaque coup est très variable et dépend du tronc ou de la branche attaquée, et de son état : par ex., sourd et grave pour un tronc dense, plus sec et aigu pour une branche sèche, peu audible dans de l'aubier humide / pourri ; mais dépend aussi de l'angle du coup et de son effet : par ex. sec et claquant lorsqu'une écorce ou un éclat de bois se détache brutalement.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
m t fele court 2 ind | XC143095 | ||
cr typ m ailes griffes | XC147884 | ||
cr typ m | XC347321 |
Kik ou ptic aigus, vigoureux, détachés les uns des autres, secs : à l'attaque et à la terminaison brusques.
Plus durs, moins riches en harmoniques medium que le pic Mar.
Rarement, ils peuvent être liés entre eux quand l’oiseau est très énervé ou alarmé : kikikikikikik ; dans ce cas, plus aigus que chez le Mar.
Plus couramment, les poussins au nid en fin d'élevage émettent ces séries continues, mais les kik sont plus "éraillés" et longs que ceux des adultes ; plus jeunes, ils émettent un bruissement mat et régulier d'insectes, bruissement qui acquiert petit à petit force et sonorité aiguë avec le temps, jusqu'à ressembler aux cris des adultes comme décrit ci-dessus.
Pendant les semaines qui suivent l'envol, leur voix continue à muer sur le chemin de la "perfection adulte", mais avec une certaine "timidité hésitante", qui contraste avec la véhémence affirmée habituelle des adultes.
Lors de poursuites (parades ou reconduites à la frontière, distinction pas toujours facile), on entend des séries "enrouées" de rurr, ruirr ou krur, truir liés plus ou moins rapides, longues et sonores, plus ou moins agressives et véhémentes (un indice pour démêler le désir de l'agression ?).
Et dans l'intimité (parade / accouplement), mêlés à des rurr / ruirr évoqués ci-dessus mais plus doux, on entend aussi des kvt ou kp étouffés, presque sans voyelle, toujours très courts.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
cr typ ad et pul | XC140088 | ||
cr typ forts | XC394071 | ||
cr typ m ailes griffes | XC147884 | ||
cr typ m | XC347321 | ||
cr krurr 2 ind | XC143094 | ||
cr par accoupl Finlande | XC368898 | ||
cr pul 2 ad al | XC374182 | ||
cr pul ages forts | XC287123 | ||
cr pul | XC253497 | ||
cr pul vibres | XC79044 | ||
cr rurr t ailes 2 ind | XC252314 | ||
cr trurr 2 ind | XC298729 | ||
t divers feles pas nets cr rurr 2 ind | XC98147 |
Généralement localisé, du fait de son besoin vital de vieux arbres à écorce crevassée et moussue (climat assez frais) en bonnes densités spatiales ; meilleures densités (artificielles) dans les chênaies équiennes de plaine les plus âgées, avec de nombreux vieux arbres partiellement dépérissants (branches mortes, ...).
Mais parfois aussi commun que l'épeiche (tout l'ouest et le sud du Cantal par ex.).
Probablement en expansion depuis quelques années en Auvergne (obs. pers.).
Sédentaire (mais déplacement des jeunes en recherche de territoire).
Domaine vital de l'ordre 20 à 40 ha en forêt favorable, d'avantage en milieux forestiers plus morcelés.
En Auvergne à basse ou moyenne altitude, phénologie de reproduction très similaire à l'Epeiche, mais les jeunes au nid sont généralement plus discrets que leurs cousins, ce qui ne facilite pas la découverte des loges !
Régime alimentaire similaire à celui de l'Epeiche, mais moins frugivore semble-t-il.
Se nourrit comme l'Epeiche à moyenne hauteur dans les arbres (tronc, branches), mais aussi plus haut dans les ramures, comme l'épeichette ; cependant plus glaneur en surface, sous les mousses et dans les crevasses, moins "bûcheur" du bois et des écorces que l'Epeiche.
Assez discret, mais sensible à la pénétration dans son espace vital (humain ou autre), et le fait en général savoir par ses cris, mais sans insister ; certains individus restent parfois totalement silencieux, ce qui ne facilite pas leur repérage.
L'espèce peut parfois être totalement invisible et inaudible certains jours (météo humide, froide et/ou venteuse par exemple), dans des secteurs pourtant à bonnes ou fortes densités (exp. personnelle).
Cohabite bien avec l'Epeiche, même si des tensions sont parfois perceptibles (très légère concurrence alimentaire ou immobilière ?) ; réutilise parfois les loges de l'Epeiche pour nicher.
Identification et comparaison à l'Epeiche :
Références spécifiques :
Emis posé, plutôt entre février et avril, mais certains mâles non appariés peuvent prolonger la sérénade jusqu'en juin !
La femelle chante aussi, mais bien moins souvent.
Séries assez lentes de 3 à 20 "cris" émis à raison d'1 ou 2 par seconde, traînants, au timbre nasillard, éraillé, impur, comme une plainte douloureuse et lancinante, parfois déchirante.
Hauteur de chaque "cri" parfois montante, parfois descendante (modulation).
Ouèii ouèii ouèii ... ouin ouin ouin ... khiê khiê khiê ... plaintifs, douloureux, parfois "écorchés".
A nul autre pareil, mais pouvant faire penser aux cris d'un porcelet, d'un râle d'eau, d'un laridé (Goéland cendré par ex.), ou d'un rapace ...
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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ch typ lent | XC356771 | ||
ch typ rapide | XC363309 | ||
ch aigu | XC210380 | ||
ch | XC155454 | ||
ch cr tous 2 3 ind | XC129157 | ||
ch ecorche | XC406351 | ||
cr ch tous 3 ind | XC213043 |
Très rare => très peu de données, description à confirmer.
10 à 30 coups en 1 à 2s, émis selon une rythme assez régulier, assez lent, de 15-20 coups/s.
Comme chez le Pic vert ou même le Pic cendré, la puissance assez faible des coups peut laisser penser à un mode d'échange plutôt intime entre partenaires, plutôt qu'à une affirmation territoriale à distance.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
t | XC281296 |
Peu typiques, semblent très similaires à celui de l'Epeiche.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
m | XC173861 |
Le plus souvent en séries liées (comme une quinte de toux) de kik-kuk-kuk-kuk, ou ptik-teuk-teuk-teuk ... au nombre de 3 à 16 (jusqu’à 30), plus longs et graves que ceux de l’Epeiche, y compris le 1er de chaque série , presque toujours plus aigu que les suivants.
Pris individuellement, les cris sont plus riches en harmoniques : en écoutant bien, mélange assez net d’un "ou" ou "u" (plus grave) et d’un "i" (plus aigu), ce qu’on n’entend pas chez l’épeiche ; attaque moins violente que chez l'Epeiche, plus "progressive"
Ces cris peuvent parfois être isolés ptik, kuk, ... ou groupés par 2 ... comme marquant une hésitation, avant d'enchaîner une série plus classique ... ou pas ; ces ptik, kouk, kouik sont plus doux et graves que l’Epeiche, et peuvent ressembler un peu au gouk du Merle noir ou au guèk de la Grive mauvis.
Le Mar émet également des cris très similaires à l'Epeiche ou au Vert lors des poursuites de concurrents ou d'un partenaire : des rurr, ruirr ou krurr, kruirr enroués en séries, plus ou moins doux ou agressifs, et dans l'intimité des kvt ou kp bas et peu sonores, sans voyelle ; ici, la voix plus riche en harmoniques du Mar est plus difficile à déceler.
Même schéma d'évolution des cris des poussins au nid que chez l'épeiche : d'un bruissement mat et régulier d'insecte au début, aux séries typiques des adultes lorsque l'envol approche.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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cr typ kuik kuk deter fph | XC147107 | ||
cr typ plus calmes | XC171721 | ||
cr ch tous 3 ind | XC213043 | ||
cr guk en 1er 2 ind | XC156679 | ||
cr intim ailes | XC147108 | ||
cr jvq ad | XC113891 | ||
cr pul age nourrissage | XC297673 | ||
ch cr tous 2 3 ind | XC129157 |
Peu commun, en faibles densités, mais présent partout où il y a des arbres feuillus (forêts, ripisylves, bocage, parcs, vergers ...) jusqu'à moyenne altitude.
Assez erratique en autome-hiver, comme les rondes de mésanges qu'il accompagne parfois.
Vaste domaine vital de l'ordre de 300 ha en forêt favorable, plus dans les milieux forestiers plus morcelés, en bocage.
Phénologie de reproduction très similaire à l'Epeiche et au Mar (mêmes durées approximatives de couvaison et d'élevage !), mais dans une très grande discrétion (difficile de trouver les loges).
Régime alimentaire plus spécifiquement insectivore que ses 2 autres cousins bigarrés (divers invertébrés du bois, des écorces et des feuilles, et leurs larves et nymphes).
Se nourrit plutôt en haut des arbres, sur les branches terminales, où il exploite souvent les rameaux dépérissants à la recherche d'insectes xylophages, ou plus simplement le dessous des feuilles bien fourni en invertébrés en tous genres au printemps.
Identification :
Références spécifiques :
Les chants sont émis en général entre février et avril-mai, mais aussi, moins souvent, en début d'été et en automne, par les 2 sexes.
Ce sont des séries de cris liés khi-khi-khi-khi-khi-khi ... aigus, un peu impurs, voilés, séries qui durent 1 à 3 secondes.
On peut les confondre avec le chant du Torcol fourmilier (qui est plus lent, moins dynamique, et donc les notes sont plus traînantes, nasillardes), ou les cris des Faucon crécerelle et hobereau (plus puissants, plus riches en harmoniques, plus graves).
Par ailleurs, entre une phrase de chant et une série de cris supposée "sociale", la distinction est souvent difficile, car les oiseaux sont généralement invisibles (aucune attitude lisible !), et la durée des séries est assez variable ; peut-être peut-on vraiment parler de chant lorsque les phrases sont longues et émises à intervalles réguliers ?
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
crch typ | XC304815 | ||
crch lent | XC313131 |
Généralement de mars à fin mai, émis par les deux sexes.
Durée : 1 à 2 s (1,3 s en moyenne).
Typiquement 20 coups, très souvent 15 à 25 (extrèmes 13 à 33), de puissance assez faible (son portant souvent peu).
Fréquence moins rapide donc que chez l'Epeiche (souvent 18 à 22 coups/s), alors que la physique pourrait laisser penser le contraire (tête plus légère).
Rythme assez uniforme, mais souvent comme "hésitant" (typique de l'espèce), avec des "trous" dans les séries (coups "manquants") ; volume plutôt stable dans chaque série, mais plus faible lors des débuts hésitants.
En résumé : tambour assez long (1 à 2 s), de rythme assez rapide et stable, mais souvent hésitant, de volume stable et peu sonore.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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t typ 2 ind | XC356856 | ||
t typ fort | XC236431 | ||
t typ hesit 2 ind | XC356856 | ||
t bizarre mais deter fph | XC99305 |
Un type particulier de martellement est typique de l'espèce, ressemblant parfois à un tambour lent et très irrégulier (mais ce n'en est pas un !), souvent à des martellements d'Epeiche ou Mar produits à un rythme plus élevé :
Le bruit émis par ces petites "rafales", séparées entre elles d'1 ou 2 secondes, dépend de la nature et l'état des branchettes sondées, mais est généralement assez sec, mat et aigu (rameau mort sec en général).
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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m aliment | XC92558 |
Plusieurs types :
Peu commun, en très faibles densités, mais présent partout où il y a des arbres feuillus ou conifères en grands nombres, âgés ou dépérissants ou pourrissants si possible (forêts, bocage, ripisylves ...), à toutes altitudes.
Sédentaire (sauf jeunes émancipés en recherche de territoire, qui peuvent aller très loin).
Très vaste domaine vital de plusieurs 100taines à milliers d'ha, plus dans les milieux moins arborés, moins lorsque les coupes à blanc multiplient comme des pains les souches pourrissantes à exploiter.
Se nourrit donc beaucoup au sol ou à très faible hauteur, le plus souvent sous couvert forestier (rarement observé au sol dans une prairie), à la recherche des larves des insectes xylophages mais aussi des fourmis charpentières (adultes, nymphes, larves) qui s'installent dans la base des vieux conifères.
En Auvergne, ponte de fin avril à fin mai (incubation de l'ordre de 2 semaines), envol des jeunes entre mi-mai à mi-juin (élevage de l'ordre de 4 petites semaines) ; très grande discrétion autour du nid : les jeunes peuvent émettre des bruissements d'insectes, mais se taisent au moindre bruit extérieur, et en particulier lorsqu'un des adultes les alerte d'un cri discret ...
Pour creuser ses loges, choisit très souvent les grands hêtres, au tronc souvent lisse et libre de branches jusqu'à bonne hauteur ; un très bon critère lorsqu'on recherche ces loges, surtout si les hêtres sont rares dans le secteur ...
Identification :
Le Pic noir a conquis toute la France depuis les années 50 (arrivée à "l'extrème" pointe Bretagne à la fin des années 1990), même s'il existait des bastions anciens en plaine (XIXème siècle au moins) ; il semble d'ailleurs que ce soit l'oeuvre "d'envahisseurs" du nord de l'Europe, plutôt que des populations anciennes des Alpes et des Pyrénées.
Références spécifiques :
Séries de koui ou kui de rythme stable après une accélération initiale, plus lent que chez le Pic vert, et de hauteur stable, après une montée initiale.
Sonorité et timbre semblant à la fois plus aigus et plus graves, plus métalliques, plus "sauvage" que chez le Pic vert (moins de medium ?).
Emis posé, mais souvent aussi en vol, auquel cas le rythme peut-être moins régulier et les koui plus ou moins longs, au gré des péripéties du vol et d'un éventuel "attroncissage" (essayez donc de chanter en courant et en sautant des haies ;-).
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
ch typ pose | XC155975 | ||
ch vol passant doppler 2 ind | XC210615 |
Comme le chant, mais en séries moins longues, plus irrégulières, moins scandées ... s'agit-il d'un véritable chant, ou de cris sociaux ?
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
crch koui 2 ind | XC115427 |
Généralement de février à mai, parfois en septembre, octobre.
Moins fréquent que chez l'Epeiche ou l'Epeichette.
Durée typique de 2 s à 2.5 s (de 1.5 s à 3.5 s), pour 25 à 45 coups, typiquement 30.
Rythme assez lent de 15 à 20 coups/s, nettement moins rapide que chez l'Epeiche, et un peu moins rapide que chez l'Epeichette.
Rythme assez stable, avec parfois une accélération au tout début.
Volume assez stable, qui s'atténue souvent progressivement à la fin.
En général, volume élevé, son portant très loin (1 à 2km), parfois comparé à une mitrailleuse lourde (!), mais peu aussi être assez faible, jusqu'à évoquer l'Epeichette !
Méfiance donc en cas de tambour faible, vérifier la durée et attendre plusieurs occurrences si possible !
En résumé : tambour long (plus de 2 s), de rythme assez lent, stable, très sonore s'atténuant.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
t faible fele proche 2 3 ind | XC401656 | ||
t hesit proche | XC367465 | ||
t moyen long | XC405590 | ||
cr kouklia t cp | XC377376 | ||
cr pul t ad | XC107500 |
Plus lents, plus lourds, moins nerveux en moyenne que chez l'Epeiche et le Mar, du fait de l'inertie supérieure de la tête.
Typiquement, séquences "alimentaires" de (1) 2 (3) coups brefs enchaînés calmement au rythme d'environ 2 à 3 coups par seconde, avec 1 à 2 s séparant chaque séquence.
Les adultes se relaient au nid en se signalant par des martellements lents (1 coup chaque s), discrets, sur le tronc de la loge.
Comme pour les autres "croque-en-bois", le bruit émis par chaque coup est très variable, selon la nature et l'état de la cible, son angle d'attaque, ... etc.
Aucun échantillon sonore trouvé, désolé :-(
Plusieurs types, évoquant comme le chant une certaine "sauvagerie" des forêts profondes :
Assez commun, mais en densités très modérées, présent partout où on trouve des arbres feuillus (lisières de forêts, grandes clairières et larges chemins enherbés, bocage suffisamment arboré, ripisylves bordées de prairies ...), à toutes altitudes.
Sédentaire (sauf, classiquement, les jeunes émancipés en recherche de territoire), mais peut quitter ses quartiers habituels en montagne lorsque la neige l'empêche d'accéder au sol, pour des contrées plus clémentes à faible ou moyenne distance.
Grand domaine vital, d'une à plusieurs 100taines d'ha en général, selon la richesse en fourmilières des milieux naturels.
Se nourrit donc essentiellement au sol, en terrain découvert, le plus souvent dans l'herbe, à la recherche des fourmis qui constituent l'immense majorité de ses proies (adultes, nymphes, larves).
Ponte de fin avril à fin mai (incubation de 2 à 3 semaines), envol des jeunes entre fin-mai à début juillet (élevage de l'ordre de 4 petites semaines) ; comme chez le Pic noir, très grande discrétion autour du nid : les poussins se taisent au moindre bruit extérieur.
Identification :
Références spécifiques :
Emis par les deux sexes presque toute l'année, de septembre à juin, mais plus fréquemment au printemps.
En séries posées ou plus dynamiques de 8 à 15 "cris" en moyenne, le plus souvent accélérées à la fin.
Sonorité souvent mélodieuse et assez pure, plus ou moins aiguë, un peu "soufflée" et gutturale, comme un rire ou un hénissement (en Breton, le Pic vert est "ar Gazeg-koat", la jument des bois).
Parfois assez dure et portant loin, parfois plus douce (affirmation territoriale ou dialogue entre conjoints ?).
Khiu khiu khiu ... ou kia kia kia ... etc.
Souvent émis au posé, mais aussi en vol.
Le chant de la femelle serait plus court, et moins mélodieux.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
ch typ calme accel t hesit | XC76373 | ||
ch typ rapide desc | XC78166 | ||
ch calme grele | XC312883 | ||
ch calme long 2 ind | XC216202 | ||
ch cr t doux par intim cp | XC310864 |
Comme le chant, mais en séries moins longues, plus irrégulières, moins scandées ... s'agit-il d'un véritable chant, ou de cris sociaux ?
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
crch kiuhf pose | XC342616 |
Rarement entendu, et plutôt discret et peu sonore.
Durée supérieure à 2s, pour environ 20 coups, émis à un rythme constant.
La puissance assez faible des coups, et le fait qu'on le dise produit souvent à proximité d'une cavité peuvent laisser penser à des échanges plutôt intimes au sein d'un couple, plutôt qu'à une menace envers un concurrent ou qu'une affirmation territoriale à distance.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
ch cr t doux par intim cp | XC310864 | ||
ch typ calme accel t hesit | XC76373 |
Souvent proches du chant, mais éléments plus durs, plus sonores, rythmés différemment, en séries moins longues (typiquement 1 à 5 éléments), semblant synchronisées avec les ondulations du vol, durant lequel ils sont souvent émis.
En séries typiques et courantes de 3 à 5 kiak ou kiuhk, moins fréquemment des kuk, kup, kiaïk, ... plus isolés.
Plus ou moins durs et stridents selon l'inquiétude, l'alarme, l'énervement ...
Egalement, lors des poursuites de concurrents ou d'un partenaire : des rurr ou ruirr enroués en séries, plus ou moins doux ou agressifs, comme chez l'Epeiche ou le Mar.
Les poussins au nid émettent des bourdonnements d'insectes scandés, plus ou moins secs et mats, au début, puis plus ou moins rauques, grinçants avec l'âge ... sur le chemin de leur future voix d'adulte.
Les juvéniles juste sortis du nid mettent qq jours / semaines à prendre de l'assurance et à former une voix adulte ; entre temps, ils émettent des couinements plus ou moins timides et maladroits, aigus et grêles, un peu tremblotants : kouî, kuîi, ...
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
cr typ kiak inq pose | XC118060 | ||
cr typ kiuk vol et pose | XC128694 | ||
cr kiouk inq etouffe pose | XC41643 | ||
cr prob juv | XC267949 | ||
cr pul insectes | XC343377 | ||
cr pul proches | XC310596 | ||
ch cr t doux par intim cp | XC310864 |
Plus forestier que le Vert, il apprécie les vieilles forêts feuillues à basse et moyenne altitude, mais aussi les vieilles ripisylves, les vieux vergers ... pourvu que des zones enherbées soient présentes à peu de distance.
Très localisé en Auvergne, dans quelques forêts domaniales de l'Allier essentiellement (massifs de Tronçais, des Colettes et de Marcenat, par exemple) ; quelques rares données dans les Couzes ; disparu depuis 15 ans des ripisylves du Brivadois.
Sédentaire comme le Pic vert, il craint cependant moins la neige hivernale, grâce à son régime alimentaire moins spécialisé.
Grand domaine vital, comme le Pic vert, d'une à plusieurs 100taines d'ha (mais parfois beaucoup moins).
Se nourrit beaucoup au sol, en terrain découvert, le plus souvent dans l'herbe, à la recherche des fourmis, mais aussi d'autres invertébrés ; exploite aussi les souches et le bois pourri (larves xylophages et autres) comme le Pic noir, et parfois les fruits en automne.
Le Pic cendré est une espèce particulèrement discrète : en dehors de quelques moments d'emballement nuptial avec chants et tambours, il est habituellement assez furtif, spécialement aux abords du nid.
Les ornithologues qui le cherchent le trouvent d'un caractère un peu lunatique, les chants semblant limités à certaines heures de la journée, mais pas toujours les mêmes, pouvant laisser penser à une désertion des sites pourtant occupés les années précédentes.
Phénologie de reproduction similaire à celle du Vert, peut-être légèrement plus courte.
Au nid, les jeunes émettent aussi un bourdonnement d'insectes (peu d'informations).
Identification :
Références spécifiques :
Assez proche de celui du Pic vert, mais :
Emis par les 2 sexes.
En dehors de la période "des amours", de février à mai, où il est plus fréquent, on peut l'entendre encore presque toute l'année, avec une nette baisse, voire un silence complet en juin-juillet et de novembre à janvier.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
ch typ deter fph | XC133208 | ||
ch typ t cr deter fph | XC401751 | ||
ch peu descendant deter | XC343657 | ||
ch t | XC361470 |
Similaire à celui du Pic vert, assez long, de rythme régulier, de force très variable, mais souvent discret (fonction plutôt intime aussi ?).
Beaucoup plus régulier que chez le Vert : le mâle tambourine presque aussi souvent qu'il ne chante, et souvent en alternance ; plus rare chez la femelle.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
ch t | XC361470 | ||
ch typ t cr deter fph | XC401751 |
Similaires, mais moins sonores, plus doux en général que chez le Vert discrétion oblige.
Plus aigus, plus "soufflés".
Peut-être un critère fiable (à vérifier) : sonorité plutôt en "u" ou "iè" et rarement en "a" (courant chez le Vert).
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
---|---|---|---|
cr al | XC310920 | ||
cr kiuk inq | XC92347 | ||
cr pul age Russie | XC194414 | ||
ch typ t cr deter fph | XC401751 |
Un picidé plutôt atypique :
Adepte des milieux ouverts et bien ensoleillés sur sols bien drainés, avec présence d'arbres à cavités pour nicher, et de zones à terre nue ou peu végétalisée : bocage, vergers, parcs, jardins, lisières des bois de feuillus ...
En Auvergne, il est assez clairsemé, mais souvent à moyenne altitude, dans les milieux plutôt secs et ensoleillés.
Il se nourrit beaucoup au sol, et surtout de certaines espèces de fourmis et de leurs larves et nymphes ; mais aussi de toute une variété d'invertébrés pris sur le sol et les branches des arbres.
Contrairement aux autres picidés, il ne creuse pas sa loge, et s'adapte aux cavités existantes, artificielles ou naturelles : arbres, vieux mur, nichoir, tuyau, terrier ...
La couvaison dure 2 semaines et l'élevage 3 environ, entre début mai et mi juillet ; une seconde ponte est parfois déposée, si le climat le permet.
Identification :
Confronté à un agresseur (prédateur, ...), il adopte parfois des postures étranges, quasi-immobile d'abord, puis gonflant et dégonflant sont plumage dans une lente alternance, et / ou tordant étrangement et tout aussi lentement le cou (d'où son nom), parfois en émettant comme un soufflement.
Références spécifiques :
Emis par les 2 sexes, en duos lancinants et souvent interminables.
Entre l'arrivée d'Afrique, fin avril ou début mai, et l'éclosion des jeunes, entre fin mai et mi-juillet.
Une série lancinante de 10 à 20 cris nasillards assez aigus, un peu impurs et traînants, de hauteur stable après une montée au début, et de rythme assez stable, pas très rapide (2-3 cris par s).
Quin quin quin ... khie khie khie ... ghi ghi ghi ...
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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ch typ 3 ind deter fph | XC133468 |
Peu fréquents / peu entendus.
Les poussins au nid émettent en fin d'élevage une stridulation métallique intermittente parfois tout à fait similaire à celle de la Grande Sauterelle verte.
Enregistrement |
Description (?) |
Autres espèces |
Source |
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cr al pres nid deter fph | XC186520 | ||
cr jvq deter debruit | XC381547 | ||
cr pul deter | XC329892 |
Rien de neuf ici, mais pour chaque type de manifestation sonore (cris, chants, tambour, ...), une présentation en vis à vis des mêmes échantillons sonores pour chaque espèce, avec les mêmes informations, pour pouvoir les comparer plus facilement.
Rappel : tableau de synthèse.
Pic épeiche |
Pic mar |
Pic épeichette |
Pic noir |
Pic vert |
Pic cendré |
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(Dendrocopos major) | (Dendrocoptes / dendrocopos medius) | (Dryobates / dendrocopos minor) | (Dryocopus martius) | (Picus viridis) | (Picus canus) |
t typ 2 ind rep (?) |
t (?) |
t typ 2 ind (?) |
t faible fele proche 2 3 ind (?) |
ch cr t doux par intim cp (?) |
ch t (?) |
t typ (?) |
t typ fort (?) |
t hesit proche (?) |
ch typ calme accel t hesit (?) |
ch typ t cr deter fph (?) |
|
t divers feles pas nets cr rurr 2 ind (?) |
t typ hesit 2 ind (?) |
t moyen long (?) |
|||
t dont tronques (?) |
t bizarre mais deter fph (?) |
cr kouklia t cp (?) |
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t fele (?) |
cr pul t ad (?) |
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t long accel (?) |
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t atyp long peu accel (?) |
|||||
cr rurr t ailes 2 ind (?) |
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m t fele court 2 ind (?) |
Pic épeiche |
Pic mar |
Pic épeichette |
---|---|---|
(Dendrocopos major) | (Dendrocoptes / dendrocopos medius) | (Dryobates / dendrocopos minor) |
m t fele court 2 ind (?) |
m (?) |
m aliment (?) |
cr typ m ailes griffes (?) |
||
cr typ m (?) |
Pic épeiche |
Pic mar |
Pic épeichette |
Pic noir |
Pic vert |
Pic cendré |
Torcol fourmilier |
---|---|---|---|---|---|---|
(Dendrocopos major) | (Dendrocoptes / dendrocopos medius) | (Dryobates / dendrocopos minor) | (Dryocopus martius) | (Picus viridis) | (Picus canus) | (Jynx torquilla) |
cr typ ad et pul (?) |
cr typ kuik kuk deter fph (?) |
cr agress deter (?) |
cr typ klieu 2 ind (?) |
cr typ kiak inq pose (?) |
cr al (?) |
cr al pres nid deter fph (?) |
cr typ forts (?) |
cr typ plus calmes (?) |
cr al (?) |
cr typ kru vol klieu pose deter debruit (?) |
cr typ kiuk vol et pose (?) |
cr kiuk inq (?) |
cr jvq deter debruit (?) |
cr typ m ailes griffes (?) |
cr ch tous 3 ind (?) |
cr jvq (?) |
cr jvq nour sol (?) |
cr kiouk inq etouffe pose (?) |
cr pul age Russie (?) |
cr pul deter (?) |
cr typ m (?) |
cr guk en 1er 2 ind (?) |
cr kik kvt par (?) |
cr kouklia (?) |
cr prob juv (?) |
ch typ t cr deter fph (?) |
|
cr krurr 2 ind (?) |
cr intim ailes (?) |
cr krui par (?) |
cr kouklia t cp (?) |
cr pul insectes (?) |
||
cr par accoupl Finlande (?) |
cr jvq ad (?) |
cr pul ad al (?) |
cr pul t ad (?) |
cr pul proches (?) |
||
cr pul 2 ad al (?) |
cr pul age nourrissage (?) |
ch cr t doux par intim cp (?) |
||||
cr pul ages forts (?) |
ch cr tous 2 3 ind (?) |
|||||
cr pul (?) |
||||||
cr pul vibres (?) |
||||||
cr rurr t ailes 2 ind (?) |
||||||
cr trurr 2 ind (?) |
||||||
t divers feles pas nets cr rurr 2 ind (?) |
Pic mar |
Pic noir |
Pic vert |
Pic cendré |
Torcol fourmilier |
---|---|---|---|---|
(Dendrocoptes / dendrocopos medius) | (Dryocopus martius) | (Picus viridis) | (Picus canus) | (Jynx torquilla) |
ch typ lent (?) |
ch typ pose (?) |
ch typ calme accel t hesit (?) |
ch typ deter fph (?) |
ch typ 3 ind deter fph (?) |
ch typ rapide (?) |
ch vol passant doppler 2 ind (?) |
ch typ rapide desc (?) |
ch typ t cr deter fph (?) |
|
ch aigu (?) |
ch calme grele (?) |
ch peu descendant deter (?) |
||
ch (?) |
ch calme long 2 ind (?) |
ch t (?) |
||
ch cr tous 2 3 ind (?) |
ch cr t doux par intim cp (?) |
|||
ch ecorche (?) |
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cr ch tous 3 ind (?) |
Pic épeichette |
Pic noir |
Pic vert |
---|---|---|
(Dryobates / dendrocopos minor) | (Dryocopus martius) | (Picus viridis) |
crch typ (?) |
crch koui 2 ind (?) |
crch kiuhf pose (?) |
crch lent (?) |
Des quizz progressifs et détaillés sont publiés sur des pages dédiées (cherchez le mot "quiz" sur ma page "Nature").
Ce document est publié sous la licence Creative Commons BY NC SA 4.0 par Jean-Philippe Meuret, LPO Auvergne (90 heures de travail).
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Attention cependant aux licences potentiellement plus restrictives :
Grand merci également à Anne, Cyril, Fabienne et Françoise, qui ont soigneusement pris des notes pendant cette séance en salle du 31 mars 2018 à la Maison des Espaces Naturels de la Comté (Sallèdes), ce qui m'a grandement facilité la tâche pour cette publication !
Grand merci enfin à Romain Riols pour le superbe dessin au crayon de Pic mar en haut de page.
Enfin, tous les enregistrements utilisés ici proviennent du site xeno-canto.org : un très grand merci aux ornithologues qui ont bien voulu partager leurs trouvailles et ainsi rendre cette publication possible.
Et le dessin au crayon en haut de page est l'oeuvre de Romain Riols (licence CC-BY-NC-SA aussi).
Merci enfin au projet Font Awesome, qui produit et distribue gratuitement, sous la licence CC BY 4.0, des icônes et pictogrammes "trop stylés", dont , , et , dont j'ai simplement changé la couleur, noire à l'origine, en vert (forcément).